30 mars 2018

Nan mais t'as cru qu'la vie c'était un kiwi ?



Il était une fois, un petit kiwi qui revenait traîner ses côtes ici-bas, fort marri qu'on l'ait presque oublié. Alors que d'aucun se demande qu'est-ce que je peux bien foutre à ne rien publier que mes bougies d'anniversaire, je me suis dit qu'il était temps qu'on se demande si bon sang, la vie c'est un kiwi ?

18 mars 2018

Trop de bougies



J'ai pas vraiment compté mais je crois qu'il y en avait trop. De toute façon avec M.-la-Catalane, on trouve que 47, ça fait trop. On a un jour d'écart elle et moi et souvent, on fête nos anniversaires ensemble.

Comme nous n'y pouvons pas grand chose de toute façon, on a mis des bougies en vrac sur plein de gâteaux et on a soufflé. Et puis nous nous sommes rendues compte qu'on avait oublié de faire un vœu alors on a recommencé, avec une bougie chacune. 

On a bu du champagne, on a mangé les gâteaux, on a discuté, ri. Au final, peu importe, c'était un goûter d'anniversaire, un goûter du dimanche après midi et c'était un bon moment. Je me demande si c'est fini le temps des grosses chouilles en soirée. Peut-être. Et alors ? Du moment qu'on passe du bon temps ensemble, je me moque de savoir si c'est pour le thé ou pour danser.

Merci à toutes celles et tous ceux qui ont texté, envoyé des messages par différents moyens, mon téléphone a fait des petits ding toutes la journée. Merci à tous pour vos pensées fugaces ou intenses, c'était délicieux.

J'ai quarante sept ans. Ça fait drôle et en même temps... c'est pas si grave.

Plein de bisous.

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EDIT du lundi matin : je crois bien que c'est la première fois depuis que je vis à La Rochelle que je pars travailler le lendemain de mon anniv... sous une belle averse de neige !



12 mars 2018

Le temps qui s'écoule



J'ai pas grand chose de bien passionnant à raconter en ce moment. Ma vie se déroule gentiment, avec ses accélérations professionnelles mangeuses de temps, ces moments de glande à la maison pour se reposer, j’enchaîne les jours sans aspérités et c'est tant mieux.

1 mars 2018

Un jour sans fin


Mercredi matin. Je me réveille dans la très vintage chambre d'un hôtel du Gers où je suis en déplacement pro. Il est 6h et j'ai du mal, je me suis déjà levée à 5h la veille et j'ai du sommeil en retard...
Alors que le soleil était radieux la veille, il y a ce matin 3 cm de poudreuse dans la ville.